Puisque
nous parlons ici de montres de milieu de gamme, pouvons nous y trouver
des pièces ne sacrifiant rien à l’excellence et à la finesse, mais
cependant accessibles ?
Avant
d’en parler, nous devons évoquer tous ceux qui ont tenté de naviguer
sur cette attente en proposant des montres qui avaient l’apparence d’un
bijou, sans en détenir la précision. Dans ce monde encore plus vaste,
nous reconnaissons une infinité de marques, qui pour certaines, figurent
dans les listes de garde-temps à éviter. Quelques-unes parviennent à
une certaine reconnaissance, mais n’atteindront jamais la qualité ultime
attendue dans ce genre de produit. La grande majorité de ces montres
sont d’ailleurs animées par des calibres d’origines chinoises, pas
toujours fiables. Quand à la finition, l’observateur attentif
reconnaîtra des imperfections et même des bavures difficilement
acceptables. C’est sans doute là où Internet joue un rôle important en
présentant les meilleures d’entre-elles où les détails de finition sont
difficilement observables.
Ne voulant pas non plus définir des catégories, j’en citerai un grand nombre dans le désordre : Sturhling,
Akibos 23, Kenneth Cole, Invicta, Ingersoll, Android, Davis, Pierre
Lannier, Yves Carmani, Rotary, Fossil, Krönen & Söhne, Maserati,
Emporio Armani et bien d’autres. Les prix vont de 30 à 300 euros
pas toujours justifiés, mais avec pour certaines, un soin plus
particulier dans la finition et le montage.
